L’importance de l’apprentissage chez les plus petits
Il y a des choses indispensables dans l’apprentissage des enfants, des routines que l’on apprend dès le plus jeune âge. Il faut par exemple leur apprendre à se brosser les dents au moins une fois par jour. Chacun sa brosse à dent et si possible son gobelet. On peut pourtant parier que c’est une exception quand, dans une famille, on a chacun son lavabo. Dans l’absolu, il en faudrait un par chambre dès l’enfance. Cela permettrait aux plus jeunes en début de vie de prendre les bonnes habitudes. On se doit d’être initié avant d’être lancé dans la vie collective. Éduquer son enfant n’est surtout pas un pari sur l’avenir ou un investissement.il faut en quelque sorte mettre en musique l’entrée dans la vie de cet être tout neuf, parti de rien mais prêt pour tout. L’école a son (très grand) rôle dans cette partition. Mais l’essentiel de l’éducation doit venir de la famille et en tout premier lieu des parents.
L’instruction des enfants
En allant à l’école, certains enfants peuvent être sales car il leur arrive de jouer dans un bac à sable. D’autres viennent mal peignés avec la tête comme un beignet. Il est possible de détecter des problèmes dans l’apprentissage dans le milieu scolaire. De la même manière que les adultes doivent être initiés avant de faire des bet777 Paris en direct, il faut apprendre aux enfants à vivre en société. Si on devait leur donner une cote concernant l’avenir qui se présentera à eux comme pour n’importe quel match, on se tromperait à coup sûr. Quelques-uns bénéficient d’une vraie approche culturelle multiple quand d’autres doivent se contenter d’un ou des repas fastfood, du foot sur le parking, d’émissions idiotes sur des écrans idiots. De plus à peine rentrés de l’école, il ne faut surtout pas déranger les parents qui avalent la télé.
D’autres au contraire, multiplieront les sorties au ciné, les livres partagés avec papa ou maman et pour les choix télévisés leur intérêt prime sur celui des adultes. S’intéresser, écouter, échanger, considérer. La clé est là et l’égalité des chances n’est qu’une chimère. Un bon environnement familial reste la meilleure façon de bien débuter dans la vie. Et les attentions portées aux soins moraux et / ou physiques des enfants sont primordiales. Ainsi le cadre de vie de chaque jeune jouera un rôle essentiel dans l’épanouissement de chacun. Tous les enfants ont besoin d’une sécurité affective. Trop les délaisser même dans une louable intention de développement d’autonomie est néfaste. Cette dernière doit en effet être un but mais elle ne peut s’atteindre que progressivement et à petite dose.
L’importance de la cellule familiale
Le sentiment d’abandon qui pourrait survenir dans le cas d’une précipitation pour atteindre ce but, peut se révéler dévastateur. L’enfant risque de se recroqueviller sur lui-même et se fermer au monde extérieur pourtant de plus en plus interactif. La dérive vers une forme (légère ou pas) d’autisme est un danger réel. Même sans en arriver là, un renfermement sur soi-même est toujours négatif. Un grand philosophe a écrit : « L’enfer c’est les autres ». Dans son milieu, c’est possible. Dans la vie ordinaire – celle de millions de gens – c’est rarement vrai car il faut toutefois bien avouer que sans les autres on se sclérose. D’ailleurs chez les jeunes, l’enfer c’est l’isolement ou pire la mise au rebut.
Et l’on sait bien que ce sont les amitiés et les inimitiés adolescentes qui minent ou boostent la vie d’adulte. Certains, bien protégés par la cellule familiale pourront passer outre et s’affranchir de tels obstacles mais pour les autres, ceux pour qui la maison n’est pas forcément un refuge c’est parfois beaucoup plus difficile de s’extraire de la banalité du quotidien. Sauf si l’on peut s’isoler quelque peu dans sa chambre, au calme et faire le point intérieurement ou à l’aide de vrais amis par l’intermédiaire des nouvelles technologies. Malgré tout et quoiqu’on en dise, on en revient toujours à la qualité ou non de la cellule intime que constitue sa chambre et en particulier son lit.